• Lors des décollages ou atterrissages, le décor est magnifique au dessus des marais salants. Les marais du canal de Douhet sont parmi les derniers marais salants qui ont été construits sur l’île d’Oléron. Si ces derniers datent de 1960, les marais des alentours sont encore plus vieux puisque leur existence remonte au moyen âge.

    L’origine de Boyardville remonte à la construction du célèbre fort sur le banc de sable appelé la « longe de Boyard ». Durant les travaux, les baraquements des ouvriers et les entrepôts de matériaux s’installèrent sur cette partie de l’île qui faisait face au chantier. Boyardville reste le meilleur spot sur l’île d’Oléron pour admirer l’imposant fort bâti en mer. C’est aussi au départ de son port que se font beaucoup d’excursions en bateau jusqu’au fort.

    Christian


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  • Un petit tour en avion pour survoler Oléron.

    L'histoire du bourg historique de Saint-Georges d’Oléron est liée à celle d'Aliénor d'Aquitaine qui serait peut-être venue dans ce lieu.

    La commune de Saint-Denis d'Oléron est la plus septentrionale de l'île d'Oléron. Baignée par le pertuis d'Antioche, elle fait face à l'île de Ré, elle doit son développement au commerce du vin, du sel, de l'orge et de l'eau-de-vie, échangés avec le continent par voie maritime. Le port qui permettait ces transactions fut très souvent menacé d'ensablement ce qui obligea les habitants à lutter à maintes reprises contre ce phénomène, en vain, car ils perdirent ce « bras de fer » au début du XXe siècle.

    Le pertuis d'Antioche, son nom viendrait du fait qu'il était la voie d'accès privilégiée au départ des villes de Saintes sur la Charente et de Rochefort vers le Proche-Orient où lesTempliers possédaient la Principauté d'Antioche.

    Le phare de Chassiron, juché sur une falaise rocheuse, est situé à l'extrémité nord de l'île d'Oléron, près de la ville de Saint-Denis-d'Oléron. Le phare permet aux marins d'entrer dans les eaux du pertuis d'Antioche

    Christian


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  • Aire sur l’Adour est une étape importante sur le chemin vers Saint-Jacques de Compostelle.

    Faire une randonnée de 15 km autour de ville est très vivifiant.

    Christian


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  • Selon la légende, c’est au Mas vers 480 que Quitterie, jeune princesse wisigothe Chrétienne, subit le martyre pour avoir refusé d’abjurer sa foi pour se marier avec un prince wisigoth arien. Cette sainte céphalophore est à l’origine d’un culte profond et du passage dans la ville des pèlerins vers Saint Jacques de Compostelle.

    Aire a été évêché durant quinze siècles : le premier évêque est attesté en 507 au Concile d’Agde, sous le nom de Marcellus. Les évêques ont modelé la vie religieuse mais ils ont aussi eu un poids important sur la vie économique et éducative.

    A la fin du XIème siècle, un évêque fit bâtir la cathédrale Saint-Jean-Baptiste (sans doute sur les fondements de l’ancien édifice), tandis qu’à la même époque, au Mas et à côté de l’abbaye bénédictine, fut construite l’église Sainte-Quitterie (de son nom primitif église Saint Pierre).

    Christian


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  • C’est l’une des plus anciennes villes du département des Landes. Son origine date probablement d’un peuplement celte qui dénomma ce lieu « Atura ».

    En 56 avant J-C la cité fut le siège d’une bataille entre les troupes de Crassus, lieutenant de César et Pompée. Rome réorganisa la ville et la rebaptisa « Vicus-Julii » c’est-à-dire le bourg de Jules (César). La ville fut successivement ravagée par les Vandales, les Alains et les Suèves.

    Au Vème siècle, les Wisigoths fondèrent le royaume wisigoth de Toulouse et Aire en fut sans doute un élément important, au point qu’en 506 le roi Alaric II y promulgua le « Bréviaire d’Alaric » (ensemble de lois régissant les Wisigoths et la société gallo-romaine, en vigueur jusqu’au XIe siècle).

    Christian


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