• Fontaine-Simon :

    Fontaine autrefois considérée comme miraculeuse et lieu de pèlerinage, son eau fut interdite à la consommation car trop ferrugineuse. Elle est dédiée à sainte Anne, patronne du village.

    Fontaine-les-Ribouts :

    Rives de la Blaise. Source jadis réputée pour la guérison des fièvres. Ancien château seigneurial de la Renaissance conservé en grange. Grange des Dîmes dans les dépendances du presbytère. Église Saint-Aignan datant en grande partie du XVIe siècle avec un auvent à colombages. Restes de vitraux anciens.

    Francourville :

    Les habitants de ce petit village d’Eure-et-Loir sont les Francourvillois, francourvilloises.

    Chris

     

    Trois autres villages d'Eure-et-Loir (XII)...

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  • 36 - Épernon :

    Accrochée sur la pente d’un éperon rocheux dominant une plaine alluviaire, la ville était, à l’origine, blottie à l’intérieur des remparts d’un château médiéval planté tout en haut de la colline et sensé protéger le royaume de France des incursions de ses voisins anglo-normands. Aux extrémités de la forêt Iveline, aujourd’hui forêt de Rambouillet, le fils d’Huges Capet fit élever les forteresses d’Épernon et de Monfort pour protéger le château de St Léger.

     37 - Esclimont, Bleury-Saint-Symphorien :

    Le Château d'Esclimont, avec ses tours, ses balcons et ses tourelles, vous accueille au cœur d'un parc spectaculaire de 60 hectares. Cette ancienne demeure de la famille La Rochefoucauld est un joyau de la Renaissance et est l'endroit idéal pour un séjour romantique ou pour vos réunions d'affaires ou événements privés.

    38 - Fermaincourt :

    Un petit village au confluent de l’Eure et de la Blaise, il est composé de trois hameaux dépendants des communes d’Abondant, Cherisy et Montreuil. Il est connu par des écrits depuis le Xe siècle. Fermaincourt était une place forte comme son nom nous le confirme : composé de deux mots latins « Firmatas » et « Curtis » qui indiquent une villa changée en forteresse. Cette place forte royale existait peut-être avant le château de Dreux, en effet : au XIIe siècle le comte de Dreux, Robert Ier possédait un château, certainement érigé à l’emplacement d’un châtelet en bois du Xe siècle, pour surveiller le passage sur l’Eure, qui était navigable. Le château médiéval était situé au fond de la vallée, bordé au sud par l’Eure, à l’ouest par la rue du village, au nord par le chemin de Montreuil, à l’est par les champs.

    À la même époque une chapelle dédicacée à  Saint-Martin était érigée sur la gauche de la route venant de Dreux. Elle figure en 1126 dans les biens de L’abbaye de Saint-Père. Il n’en reste plus qu’un pend de mur sur une butte de terre.

    Chris

     

    Trois autres villages d'Eure-et-Loir (XI)...

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  • Dreux :

    C’est la deuxième plus grande ville du département par sa population.

    L'Histoire du Pays de Dreux se reflète dans ses édifices où se croisent personnages emblématiques et monuments atypiques.

    -Le Beffroi

    Seul monument de ce type en Eure-et-Loir, il fut érigé de 1512 à 1537 par trois architectes de renommée dont Clément Métézeau.

    -Moulin de la Bellassière

    Le Moulin de la Bellassière, monument historique marqué par la présence de Madame de Pompadour, qui renoue avec l’esprit du siècle des lumières, en accueillant artistes et artisans d’art pour des rencontres conviviales.

    -L’église Saint-Pierre

    Construite dans le 1er tiers du XIIIe siècle, elle est contemporaine de la cathédrale de Chartres avec laquelle elle présente des similitudes.

    La Chapelle Royale Saint-Louis :

    La Chapelle Royale fut édifiée à partir de 1816 par la duchesse douairière d’Orléans sur l’emplacement de l’ancienne forteresse des Comtes de Dreux dont on peut apercevoir les remparts.

    Agrandie par son fils, le roi Louis-Philippe, il en fit la nécropole des membres de sa famille et de ses descendants. Les gisants de la famille du Roi Louis-Philippe sont commandés aux plus grands noms de la sculpture du XIXe siècle : Millet, Barre, Lenoir, Pradier et Mercié. C’est ce dernier qui exécute le monument du roi et de la reine Marie-Amélie.

    La manufacture de Sèvres a livré ici de splendides vitraux peints et émaillés inspirés des compositions religieuses ou historiques telles que « la vie de Saint-Louis », patron de la Chapelle Royale. Dominique Ingres, Horace Vernet, Hippolyte Flandrin et Larivière ont signé les plus belles œuvres faisant apparaître le fameux bleu de Sèvres.

    Écluzelles :

    Avec ses 5 km de circonférence, le plan d’eau de Mézières-Écluzelles est le plus grand d’Eure-et-Loir. C’est l’endroit idéal pour se balader, pique-niquer ou encore faire du canoë.

    Le plan d’eau de Mézières-Écluzelles offre une zone de refuge en hiver à de nombreuses espèces d’oiseaux d’eau : fuligules, milouins, morillons…

    Écublé :

    L’ancienne commune d’Écublé (devenue Tremblay-les-Villages suite à une fusion de six communes) est citée dans le poème d’Aragon.

    Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Chris

    Trois autres villages d'Eure-et-Loir (X)...

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  • Dampierre-sur-Blévy :

    Les forges de Dampierre-sur-Blévy, ces forges constituent un vestige exceptionnel de l'industrie sidérurgique du XVIIe siècle où furent fondus les canons de la marine royale par ordre de Colbert.

    Dangers :

    Petit village français, situé en Eure-et-Loir. Ses habitants sont appelés les Dangeois et les Dangeoises.

    Denonville :

    L'origine de Denonville, comme c'est le cas de la plupart des anciennes communes, se perd dans la nuit des temps. Toute trace de l'époque gauloise a disparu de la surface du sol, mais on y rencontre des ruines qui montrent le séjour de populations romaines ou romanisées dans cette contrée. Des fouilles exécutées en 1849 ont permis d'exhumer des traces de constructions gallo-romaines, des débris assez nombreux, de grosses tuiles plates à rebords, des tessons de poterie et des monnaies, dont une de Constantin le Grand de 307.

    Chris

     


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  • Coltainville :

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Cotainvilla vers 1123, Coleteinvilla vers 1250, Colletainvilla en 1359.

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville. Ville a signifié « domaine rural, village » en ancien français, d'où le sens originel de vilain « paysan médiéval libre ».

    Courtalain :

    Le château a été bâti en 1483 par Guillaume d'Avaugour, époux de Perette de Baif, tante de Jean-Antoine de Baïf, poète et ami de Ronsard et membre de la Pléiade.

    La tombe de Perette de Baif se trouve dans l'église de Courtalain.

    Au XVIIe siècle, le château entra dans la maison de Montmorency par le mariage de Jacqueline d'Avaugour avec Pierre II de Montmorency. Neuf générations de Montmorency se sont succédé à Courtalain. Une brève parenthèse de l'histoire du château lors de la révolution française, laissa la gestion à un maréchal ferrant et un boucher qui s'y installèrent avant d'être rapidement chassés par le retour des propriétaires lors de la restauration.

    Courville-sur-Eure :

    Courville devint une châtellenie, sous la domination d'un petit seigneur féodal, appelé sire d'abord sous la famille Vieux-pont, puis baron avec les Billy et les Ligneris ; en 1656, la baronnie de Courville est érigée en marquisat lorsque cette seigneurie passe entre les mains des descendants de Sully.

    La ville fut autrefois entourée de murailles et de fossés ; on y accède alors par plusieurs portes. Mais ces fortifications ne tardent pas à devenir inutiles. Au XIIe siècle, resserré dans les limites trop étroites de son enceinte, Courville s’agrandit, sa population augmente, sa bourgeoisie commerçante et aisée obtient des privilèges et peut prendre part à l'administration locale. Un syndic, nommé pour trois ans, est chargé de faire exécuter les « ordres du Roy et les ordonnances de Monseigneur l'Intendant et de veiller pareillement à tout ce qui pouvait être des intérêts de la communauté des habitants »

    Chris

    Trois autres villages d'Eure-et-Loir (VIII)...

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