Ce W-E c’est déroulé dans mon village le forum des associations, le vide grenier et l’exposition ‘’Nos Voisins ont du Talent’’ dont j’ai participé. Douze exposants avec plus de 300 œuvres exposées, elles ont concerné ; les vitraux, la peinture, les photos (macros et aériennes), la mosaïque, les points comptés, les romans et enfin l’artisanat en toile (confection de jolis sacs).

Le petit diaporama reprend l’ensemble de cette exposition dans un lieu peut ordinaire, la halle de l’ancienne gare de mon village.

Les organisateurs de ces manifestations ont été agréablement surpris du nombre de visiteurs sur une journée.

Bonne journée, Chris

En ce moment une exposition des œuvres d’Alfred Manessier dans la chapelle du château de Maintenon.

Alfred Manessier né le 5 décembre 1911 à Saint-Ouen dans la Somme et mort le 1er août 1993 à Orléans, est un peintre non figuratif français, considéré comme un des maîtres de la Nouvelle École de Paris.

La tapisserie fait aussi partie de l'œuvre de Manessier. Après sa rencontre avec le couple de tisserands Plasse Le Caisne vers la fin des années 1940, Manessier se consacre à la tapisserie. Il produit notamment : La construction de l’Arche, 1947, et, après la commande passée par le père Avril de la communauté dominicaine du Saulchoir, Le Christ à la colonne (1948), La forêt en janvier, 1949). Ces tapisseries sont des œuvres monumentales : Chant grégorien (1963-1969), Vers l’espace sous-marin (1964), Espace sous-marin (1964, Hymne à la joie (1967), La Joie (1968), L’accueil, (1984).

Bonne journée, Chris

Samedi au château de Maintenon plusieurs voitures de la marque Citroën étaient présentes, je régulais le flot des visiteurs, j’en ai profité pour faire quelques photos…

En premier dans la cour du château se trouvaient deux belles Citroën Traction Avant. 

Un peu d’histoire :

La 15cv, 6 cylindres est une automobile produite par le constructeur français Citroën de 1934 à 1957. Son histoire est liée dans la mémoire collective à l’Occupation, tour à tour voiture de la Gestapo et icône de la Résistance. Elle est également le véhicule préféré des gangsters en raison de qualités routières exceptionnelles pour son époque.

Une belle Citroën 10 HP Type B2, trônait auprès d’autres modèles plus récents (dernière photo)…

Un petit clin d’œil à mon amie Corse sur la photo 4.

Bonne journée, Chris

Phare de la Teignouse :

Le phare de la Teignouse est le cinquième phare construit en mer. Il sera allumé en janvier 1845.

          Combustibles :
          Huile végétale : 1845.
          Huile minérale : vers 1875.
          Vapeur pétrole : 1904.
          Electrification : 1983.

          Automatisation : 1983.

Le phare de la Teignouse est situé entre la presqu'île de Quiberon et l'île d'Houat, sur le prolongement de la pointe du Conguel et l'île d'Houat. Il marque le passage de la Teignouse pour sortir de la baie de Quiberon, partie occidendale de Mor braz, en direction de Belle-Île-en-Mer.

Ce passage est un noeud maritime capital, des centaines de bateaux s'y engouffrent chaque jour. De nombreux naufrages y ont eu lieu, notamment celui du cuirassé France en 1922. Pourtant à cette époque, l'endroit était déjà sécurisé par le phare.

Lors d’une sortie en mer deux ouvriers travaillaient sur le rocher de la Teignouse (photo 3).

Le soubassement qui abrite les logements, est surmonté d'une tourelle plutôt fluette qui donne au bâtiment un étrange profil. Les logements trop proches des vagues étaient réputés fort humides et froids. L'endroit ne plaisait guère aux gardiens.

L’îlot de Houarn Marc’h (Fer à Cheval ou cheval de fer) repaire des cormorans, goélands et autres, un îlot dont il faut se méfier surtout à marée haute.

Petite question : quel est ce poisson sur la dernière photo ?

Bonne journée, Chris

L'usine Hurel localisée à Aunay-sous-Crécy (28500) près de la petite rivière La Blaise, elle était spécialisée dans le secteur d'activité du commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques. Son effectif est compris entre 10 et 19 salariés.

Mars 1908, la rivière empoisonnée

À la suite d'un accident survenu en mars 1908 dans l'usine Hurel, une certaine quantité d'acide sulfurique s'écoule dans la rivière, tuant plusieurs poissons. À la demande de l'administration des Eaux et Forêts, Monsieur Hurel est poursuivi devant le tribunal correctionnel de Dreux. L'audience se tient le 27 décembre 1909

Juin 1931, la rivière à nouveau polluée

Les usines Hurel versent dans la Blaise de l'acide sulfurique, pour une quantité, selon les techniciens, de vingt tonnes. De toute part, des protestations s'élèvent, d'autant plus qu'un gros effort de rempoissonnement venait d'être fait

Janvier 1965, Maurice Hurel condamné pour pollution de la rivière

A l'audience du 13 janvier dernier, présidée par M. Traverse. M. Maurice Hurel, président directeur général des Etablissements Hurel à Aunay-sous-Crécy, était poursuivi à la suite d'une accident technique qui se produisit le 30 mai dans l'usine, et qui provoqua par l'écoulement dans l'eau d'une certaine quantité de liqueur de Barrett, la pollution de la Blaise et de l'Eure sur une distance de quatorze kilomètres, entraînant la mort d'une grande quantité de poissons (...) Rendant son jugement, le tribunal condamne M. Hurel à 2.000 francs d'amende et prononce son exclusion de toute société de pêche pendant un an.

http://basol.developpement-durable.gouv.fr/fiche.php?page=5&index_sp=28.0034

Mon commentaire : souhaitons à ce joli petit village, un cours d’eau sain (La Blaise), où les pêcheurs prendront des poissons qu’ils pourront manger sans soucis…

Bonne journée, Chris