Les quais de Calvi

Le port de plaisance Xavier Colonna c’est aussi un cadre dynamique qui accueille de nombreuses activités. Le port compte dans ses rangs plusieurs quais où des centaines de bateaux peuvent amarrer tout au long de l’année.

Le Quai d'Honneur, un hommage à Marc Linski...

Toutefois, un seul d’entre eux tire son épingle du jeu ! Le Quai d’Honneur, situé au milieu du port et baptisé Marc Linski en hommage à ce célèbre navigateur ayant fondé une école de voile à Calvi, est le chouchou des appareils photos en raison des bateaux prestigieux qui y jettent l’ancre.

Peut-être y verrez-vous une star de la mode, du cinéma de la musique ou du show – business…

Soyez attentif, car les VIP se font très discrets à Calvi.

Le quai Landry

Flânerie tranquille le jour … Bordant le port, le quai qui porte le nom du célèbre ministre Adolphe Landry, est incontournable. Pris d’assaut dès les premiers jours de vacances à Calvi, il se révèle être idéal pour déambuler et flâner à une des nombreuses terrasses de café. Plutôt animé en matinée où il est très agréable d’y prendre son petit déjeuner en observant le retour des pêcheurs, le quartier retrouve son calme à l’heure du déjeuner et dans l’après-midi.

Au bout du quai Landry, les pécheurs calvais vendent à l’étalage leur prise du matin. C’est la garantie de trouver chaque jour du poisson frais !

Effervescence le soir… DJ, musiciens, spectacles de rue, concerts le soir, le quai résonne aux rythmes de la fête. Il rivalise avec d’autres quartiers comme celui de la citadelle dont un célèbre piano bar continue d’être le temple des nuits calvaises. En revanche le 15 août à l’occasion du spectacle pyrotechnique célébrant la sainte patronne de la ville, le quai devient la star de Calvi depuis lequel se massent 40 000 personnes pour assister au plus beau feu d’artifice de l’île. La citadelle est alors parée de ses plus beaux attraits.

Deux belles photos de l'Hermione devant la citadelle (photos du Web)...

Calvi possède un aéroport et un port, celui-ci est devenu uniquement de plaisance.

A Calvi ne rien faire est déjà une activité (sourire), il suffit d’ouvrir grands les yeux, et d’apprécier ce décor unique : les mâts des bateaux qui oscillent au gré du vent, le bleu de la mer qui côtoie les montagnes imperturbables aux cimes enneigées et entre les deux arrimés à leurs collines, de charmants petits villages qui font la part belle au littoral.

Les activités sont nombreuses : balades pédestres, balades en bateau, faire de la plongée pour nager avec les poissons et découvrir les fonds marins magnifiques, braver les vagues en jet ski ou en kayak, s’évader au large en louant un bateau de son choix, oser se lancer pour un baptême en avion, etc.

Nous nous retrouvons en Corse ‘’l’île de beauté’’ pour une longue série, la Corse une île que j’aime tant.

Les articles qui suivent sont ciblés sur la ville de Calvi.

Certaines de mes photos qui sont sur les pages de mon livre datent, car auparavant nous arrivions au port, mais pour des raisons de sécurité l’accostage ne se fait plus à Calvi mais à l’île Rousse, donc certaines de mes photos deviennent de vraies archives, car un bateau de la ‘’Corsica ferries’’ à Calvi n’existe plus depuis des années, à moins que dans le futur ?

Bienvenue sur ‘’l’île de beauté’’ et donc à Calvi située au N/O de l’île…

Un fameux pont ‘’Le Pont Valentré’’ sur le fleuve Lot, c’est le monument à ne pas manquer lors d'une visite à Cahors, cité médiévale du sud de la France.

Sa construction :

En 1306, les consuls de la ville de Cahors décident de la construction d'un pont au lieu-dit "Valandre", sur la partie Ouest du méandre de Cahors. Deux autres ponts existaient alors à Cahors : le pont Vieux au Sud et le pont Neuf à l'Est.

La première pierre du nouvel ouvrage d'art est posée solennellement en 1308 par le premier consul Géraud de Sabanac. Le chantier va durer près de 70 ans, donnant naissance à la légende selon laquelle le diable aurait apporté son concours à l'architecte (prochain article). En 1345 on peut circuler sur le tablier, les trois tours n'étant sans doute achevées que vers 1380, en dépit des crises de la guerre de Cent ans.

D'une longueur de 172 mètres, le pont Valentré possède huit arches, retombant sur des piles pourvues d'un avant-bec. Il possède trois tours, dont seules les deux placées sur les rives étaient fortifiées de mâchicoulis et d'archères. Chaque extrémité était à l'origine protégée par un châtelet, ces éléments ayant presque disparu de nos jours.

La légende du Diable du Pont Valentré…

Mentionné en 1840 dans la première liste de Monuments Historiques, le Pont Valentré est restauré vers 1880 par l'architecte Paul Gout, qui fait sculpter par l'artiste local Cyprien-Antoine Calmon un petit diable au sommet de la tour centrale.

On raconte que l'architecte ne pouvant venir à bout de son œuvre, eut recours à Satan et fit un pacte avec lui. Satan s'engageait à l'aider par tous les moyens et à lui obéir ponctuellement, quelque ordre qu'il put recevoir. Le travail fini, l'âme de l'architecte en devait être le prix. Mais si le démon, pour une cause quelconque, refusait de continuer son assistance jusqu'au bout, il perdrait tous ses droits sur le prix en question ; la besogne marcha vite avec un tel manœuvre.

Quand le pont fut presque fini : - se dit en lui-même l'architecte, voici le moment de songer à notre âme, afin que nous n'ayons pas fait un sot marché. Et il porta un crible à son formidable associé : - Ami, lui dit-il, je t'ai trouvé docile jusqu'ici, et tu sais que tu dois l'être jusqu'au bout ; prends ce crible (sorte de seau percé), laisse-le tel qu'il est et l'emploie à puiser de l'eau que tu porteras aux maçons pour délayer la chaux. Le diable se mordit les lèvres de dépit ; il tenta pourtant l'expérience, elle échoua vingt fois. Jamais crible n'a gardé l'eau. Confus, le diable vint avouer sa défaite, mais jura de se venger. A quelque temps de là en effet, lorsque les maçons eurent presque achevé de construire la tour du milieu, ils en trouvèrent l'angle supérieur nord-ouest abattu et il leur fut impossible d'achever cette tour.

 L'architecte chargé de la restauration, Paul Gout, fait immortaliser cette légende par une pierre sculptée représentant le diable tentant d'arracher la pierre du pont mais n'y parvenant pas, ses doigts étant coincés dans les joints de la pierre.

Au début du XXe siècle, quelques Collongeois créent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.

En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches.

Le village est construit tout en grès rouge ce qui donne une partie de son nom, contrastant avec le vert des châtaigniers et des vignes environnants.

Le village fait partie de l'association des plus beaux villages de France (Charles Ceyrac, maire de Collonges de 1965 à 1996 à qui l’on doit l'association en 1982, il est le premier classé sur la liste des Plus Beaux Villages de France), c'est le site le plus visité du Limousin.